Le vin au Québec

Château Martet Réserve de Famille 2009 – Un millésime exceptionnel!

Vendredi, juillet 19, 2013 @ 04:07
posted by Francis Roussin

Ce vin élaboré par Louis Mitjavile est issu à 100% de merlot vendangés à la main et provenant de sols orientés sud-ouest. Parcelles: les Brugues, Courtiade et Graves.

L’élevage de 18 mois a lieu en barriques Radoux de chêne français neuves.

 

Château Martet 2009

Impressions du producteur

Les conditions climatiques ont été parfaites : chaleur et humidité, ensoleillement intense, nuits fraîches. Nous n’avons jamais eu ce niveau qualitatif de vin à Martet depuis l’achat de la propriété en 1991 ! Les vins sont encore en élevage mais que de superlatifs pour les décrire : riches, denses, onctueux, harmonieux, gracieux…

 

Prix : 49,75$ (taxes incluses)

Région : Ste-Foy de Bordeaux, France

Disponibilité : 20 caisses

Ce vin est disponible chez Réserve & Sélection.

Téléphone : 514 524-3993

133 de la Commune Ouest, Suite 200
Montréal, Québec, H2Y 2C7

 

Au nez, le vin développe des parfums de mûre, de pruneau et de truffe. En bouche, il est d’une richesse peu commune, sans agressivité mais tout en douceur; une explosion de fruits noirs.

 

 

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De nouveaux records de vente pour les vins et spiritueux français

Lundi, juillet 15, 2013 @ 09:07
posted by Francis Roussin

Les ventes de vins et spiritueux provenant de la France vers le reste du monde ont battu tous les records en 2012, avec plus de  11 milliards d’euros de chiffre d’affaires pour une seule année. Ce nouveau record est principalement dû à l’augmentation considérable des ventes de cognac.

vins

Du point de vue de la quantité de consommation, les chiffres restent passablement semblables à ceux des autres années. Cependant, la raison de cette subite augmentation des ventes provient du fait que les consommateurs achètent des produits de plus en plus dispendieux. En trois ans, les ventes de cognac ont augmenté de 34%, les vins de Bordeaux de 30% et finalement, le chiffre d’affaires pour les ventes de champagne a augmenté de 10%.

Le marché du spiritueux représente à lui seul 83 % de l’excédent de l’agroalimentaire français.

spiritueux

Source : http://www.lemonde.fr

3 excellents vins disponibles en quantité limitée

Jeudi, juin 20, 2013 @ 11:06
posted by Francis Roussin

François Lumpp est indiscutablement l’un des viticulteurs phares de l’appellation Givry. C’est grâce à un travail acharné, entamé depuis plus de 20 ans, qu’il a contribué à rehausser le niveau de l‘appellation. Évoluant dans les vignes familiales de Givry depuis 1977, il a créé son propre domaine en 1991. Aujourd’hui à la tête de 8 hectares, François Lumpp est autant réputé pour ses blancs que pour ses rouges. Il élabore des vins dont la texture et la longueur sont exceptionnelles. Un travail méticuleux à la vigne, de petits rendements, des raisins parfaitement sains et mûrs, et des vinifications sous bois peu interventionnistes amènent des résultats constants millésimes après millésimes. Bref, un vin de terroir!

Francois Lumpp

Il a récemment acquis 2 hectares en premier cru « A Vigne rouge » dont seulement 1,5 hectares sont aujourd’hui en production. Cette nouvelle acquisition lui permet la production d’une délicieuse cuvée commercialisée seulement depuis 2007. Suite à un projet de reclassement déposé auprès de l’INAO, 90% de la surface cultivée par le domaine sera reclassée en premier cru à partir du millésime 2011.

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L’histoire de la bouteille de vin, 300 ans d’histoire !

Mardi, avril 2, 2013 @ 12:04
posted by Francis Roussin
Histoire de la bouteille de vin Qu’est-ce que ça prend pour fabriquer une bouteille de verre ? Rien de bien complexe: du sable, du carbonate de soude et de la chaux. La bouteille en verre existe par ailleurs depuis l’Antiquité. Par contre, elle est alors de petite taille et sert plutôt à contenir des parfums. Elle commence à contenir du vin en Europe dès la fin du Moyen Âge, puis va s’améliorer petit à petit jusqu’à ce que son usage se généralise autour des années 1700.

 

Dans un premier temps, le rôle de la bouteille de vin se limite à assurer le trajet de la cave du vigneron et/ou du tavernier à la table. Mais le roi Louis XV finira par autoriser officiellement le transport du vin en bouteilles à commencer par le champagne (1728), puis le bourgogne (1750). Dans la région de Bordeaux, l’usage de la bouteille s’est imposé de lui-même et a été reconnu dès le début du XVIIIème siècle.

Durant cette période, les Britanniques mettent au point une bouteille en verre noir très épais, avec une large base. Bien bouchée grâce au bouchon de liège qui vient de voir le jour, elle remplace la barrique qui n’était pas toujours parfaitement hermétique. Les vins français peuvent désormais s’exporter dans de bonnes conditions. La bouteille se révèle essentielle, surtout pour le développement du champagne dont la prise de mousse ne peut se déclencher qu’une fois la mise en bouteilles et surtout avec des bouteilles résistantes à la pression et très bien bouchées. Toujours au XVIIIème siècle, il est constaté que le vin se bonifie en vieillissant. Les amateurs se tournent alors vers des vins plus âgés, aux arômes et aux saveurs plus fins et plus complexes.Dès  1760, les appréciations sur les vins se multiplient dans les récits et les guides de voyage. Ce sont les prémices du discours œnologique qui va se développer au cours des années 1800.

Après la naissance du système métrique en 1792, la bouteille de vin sert aussi d’unité de mesure. D’autant que sa fabrication est de mieux en mieux maîtrisée. La contenance à 0,75 cl ou encore 750ml sera officialisé en 1866. Elle ne sera pas choisie au hasard : une caisse de 6 bouteilles (4,5 litres) équivaut au gallon du système impérial britannique…et pour cause : qui paye commande ! Ou plutôt, comme disent les anglais : « He who pays the piper calls the tune » (celui qui paye les pipeaux choisit la musique). N’est-il pas ? Côté pratique : une bouteille de 75 cl permet de remplir 6 flûtes (ou 6 verres de vin). Les magnums, jéroboams etc. sont des multiples de ce format.

Autre préoccupation des producteurs & commençants ; Les vins doivent être protégés des rayons lumineux pour préserver leur goût et leur couleur. La bouteille joue là encore un rôle essentiel. Paradoxalement, les vins rouges, qui bénéficient d’une protection naturelle par leurs tannins, sont aussi embouteillés dans des contenants de teinte verte, parfois tirant sur le jaune ou sur l’ambre, qui filtrent parfaitement les rayons lumineux. A l’inverse, les vins blancs et rosés nécessiteraient une protection plus importante. Mais quelle tristesse de cacher à la vue toutes les nuances de ces vins : du jaune paille au jaune or, du rose saumon au rose œil-de-perdrix… ! C’est pourquoi ils sont malgré tout présentés dans des bouteilles transparentes.

Les champagnes sont les plus fragiles à la lumière. Quelques minutes au soleil peuvent suffire à leur donner un « goût de lumière » indésirable. Pour éviter une altération des vins, il faudra simplement veiller à ne pas les exposer longtemps à la lumière. Sinon, penser à les emballer dans du papier de soie.

Au vu de ces trois siècles d’histoire, l’expression « avoir de la bouteille » prend tout son sens !

Merci Flore de Hauss-Boncza

Source: http://avis-vin.lefigaro.fr/connaitre-deguster/o28482-la-bouteille-de-vin-trois-siecles-de-bons-et-loyaux-services#ixzz2OUmrtYx3

Photo : http://www.point-fort.com/index.php?2011/11

 

Accords alcools et fromages; Osez la variété!

Dimanche, mars 24, 2013 @ 06:03
posted by Francis Roussin

Alcool et fromage

Une soirée de dégustation est un excellent moyen de se retrouver entre amis et de découvrir de nouveaux produits. Pour ce faire, vous aurez besoin de 3 éléments; du pain, du fromage et un type d’alcool. Souvent, lorsqu’on parle d’alcool et de fromage, les gens imaginent tout de suite le vin. Cependant, il est de plus en plus populaire de faire des accords fromage et bière ou fromage et cidre. Les bières de microbrasseries québécoises sont d’excellents produits afin d’accompagner le vin. Par exemple, une Dominus Vobiscum blanche de la microbrasserie Charlevoix s’accompagne très bien avec le fromage brie Bonaparte de la Fromagerie Alexis de Portneuf. Au contraire, une bière noire et forte, comme la Criminelle de la microbrasserie La voie maltée, s’accompagnera très bien avec un fromage plus corsé comme l’Ermite, de l’Abbaye de Saint-Benoît-du-Lac.

Pour le vin, on prévoit environ ¼ bouteille par personne par service. Idéalement, il est nécessaire de prévoir de changer les verres à chaque service ou, à tout le moins, les rincer.

Dans le cas des bières, l’usage d’un  bon type de verre permettra de faire ressortir les arômes propres à chaque variété. Pour les bières avec une forte concentration de lie, il est recommandé d’utiliser des calices. Pour les vins, l’utilisation d’une coupe standard fera parfaitement faire l’affaire sauf pour les liqueurs ou porto qui gagnent à être dégustés dans des coupes plus petites.

Pour optimiser la dégustation, osez la variété. Une grande variété de fromage plaira à coup sûr à vos invités. On commence par goûter le fromage et ensuite, on prend une gorgée que l’on fait bien rouler dans la bouche. On respire en même temps pour que les arômes se libèrent, grâce à la « rétro-olfaction ». On apprécie alors pleinement toutes les saveurs présentes. Comme les arômes du fromage se concentrent dans ses matières grasses, on gagne à bien marier les alcools, vins et bières.

Il importe de garder à l’esprit que chaque individu a des préférences qui lui sont propres et que toute opinion est valable en matière de goût.

Une dégustation, c’est le plaisir de la découverte en bonne compagnie !

Source : http://www.routedesfromages.com/172-accordalcoolfromage

Fête des vins du Québec du 30 nov. au 2 déc. 2012

Dimanche, novembre 25, 2012 @ 09:11
posted by Sylvain Major

Ensemble mettons le Québec dans notre verre !

Charles-Henri De Coussergues
Président
Association des Vignerons du Québec

 

Gourmets et gourmands, passionnés ou simples amateurs, curieux, connaisseurs ou collectionneurs,
friands de bons vins et autres produits de notre terroir.

La Fête des Vins du Québec vous convie à son grand rendez-vous épicurien, les 30 novembre,
1er et 2 décembre, au Marché Bonsecours de Montréal.

Faites des rencontres passionnantes avec plus 50 producteurs d’ici :

  • Vignerons
  • Fromagers
  • Producteurs agroalimentaires

Munis d’un verre de dégustation et de 12 ou 25 coupons, vous aurez accès à un vrai parcours gustatif et vous ferez la connaissance de producteurs passionnés à chaque kiosque.

Venez voir sur Youtube le vidéo suivant :
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=R8qWds5ELhk#t=0s

Pour plus d’informations: www.fetedesvins.ca

 

Vigneron français conquis par un emballage en carton plat

Vendredi, juillet 27, 2012 @ 05:07
posted by Sylvain Major

Une véritable valeur ajouté

A l’origine, ce producteur recherchait une boite pliante pouvant contenir six bouteilles. Le défaut des emballages en carton traditionnel de 6 bouteilles est qu’ils ne se palettisent pas facilement. Avec le type de boite pliante et le type de carton proposé par l’imprimeur, il n’y a plus de trous sur palette.

Ce qui nous a également conquis en voyant ce produit, c’est le fait qu’il n’y ait pas d’alvéole. Il est donc bien plus facile à stocker et cela représente un gain de place très appréciable.

Un format polyvalent

Avant, nous dissociions le carton d’expédition du carton plat destiné à la vente en direct. Aujourd’hui avec cette boite, nous abandonnons la multiplication des références pour n’utiliser qu’un modèle pour les cartons de six bouteilles.

De plus, ce carton accepte les trois formats de bouteilles que nous utilisons pour nos différentes cuvées : outre la Bourgogne Tradition, il accueille l’Élégance ainsi que l’Émotion.

Un carton pour se différencier

Ce carton plaît pour la vente en direct, à nous comme à nos clients : il est pratique à porter sous le bras, facile à transporter

Source : http://www.deboisseyt-chol.com

L’origine de l’étiquette de bouteille de vin!

Dimanche, juillet 15, 2012 @ 11:07
posted by Sylvain Major

Le principe de l’étiquetage est très vieux puisque dès l’apparition de l’écriture, l’homme a noté sur les contenants le nom du produit qui s’y trouvait.  Ainsi, dès 1400 ans av. J.-C. en Égypte, puis pendant toute la période de l’antiquité, on retrouve des textes peints sur des amphores indiquant de façon détaillée le nom du cépage, le type de vin, l’année et l’endroit où il a été produit.

L’histoire de l’étiquette de vin, sous la forme d’un petit papier annoté à la main ou imprimé, commence au cours du XVIIIe siècle.  À cette époque, sous l’impulsion conjuguée de la découverte du Champagne mousseux, qui réalise sa « prise de mousse » en bouteille, de la fabrication de bouteilles de verre plus solides et moins chères et de la généralisation du bouchage au liège, le commerce du vin sous flaconnage de verre avec une étiquette, tend à remplacer le transport en fût.

Mais l’invention, en 1797, de la lithographie,  permet d’imprimer en grande quantité et facilement toutes sortes d’illustrations, qui donneront une impulsion fondamentale au développement de l’étiquette moderne.  Dès le début du XIXe siècle, la France et l’Allemagne, suivis bientôt par le reste du monde, produisent en quantité ces petites vignettes de papier qui habillent les bouteilles de vin.  Les étiquettes d’aujourd’hui sont produites sur des presses flexographiques ou des presses numériques et peuvent être imprimées avec une précision extraordinaire.

Source : http://www.museeduvin.ch/page.php?label=collection-2#